mercredi 22 octobre 2014

Le film de la semaine #1 : Introduction + Deux Frères

J'introduis aujourd'hui une nouvelle catégorie, l'idée me trottait dans la tête depuis cet été. Comme le titre l'indique, il s'agit d'article concernant le cinéma. Je ne suis pas une grande cinéphile (je dirais même que je suis plutôt à la ramasse) mais il m'arrive quand même d'avoir des coups de cœur. Au début, je pensais vous présenter des films à l'affiche, sauf que cela devenait assez contraignant puisqu'il aurait fallu que j'aille voir le film dès sa sortie pour vous le présenter rapidement. Finalement, après réflexion, je me suis dis "pourquoi se limiter aux films récents dont tout le monde parle alors qu'il y en a déjà un milliard de sortie qui ne demande qu'à être vu/découvert ?". Du coup, me voilà. J'ai décidé de vous présenter chaque semaine, le mercredi donc (c'est le jour de la sortie des films en France toussa), un film qui m'a marqué, que j'ai aimé, parfois un de mes préféré. Il s'agira aussi bien de films récents, moins récents, peut-être parfois de certains encore à l'affiche, un peu de tout en fait.

Je vais donc vous parler d'un film qui a fêté ses dix ans cette année, Deux Frères de Jean-Jacques Annaud.
Sorti le 7 avril 2004, ce film franco-britannique retrace l'histoire de deux frères tigres nés dans les ruines d'un temple, dans la jungle d'Angkor dans les années 1920. A cette époque, cette partie de l'Asie est alors sous domination occidentale qui se passionne pour l'art asiatique. Le site, qui abritait les tigres jusqu'à présent, est pillé et les deux frères, Sangha et Koumal, encore petits, se retrouvent séparés après avoir été capturés puis vendus. L'un atterrit dans un cirque, l'autre, après avoir été un animal de compagnie dans une famille de colon, se retrouve chez un Prince. Le destin va faire se retrouver les deux frères des années plus tard lors d'un combat de fauve dans une arène. 

Les principaux protagonistes de ce film sont des tigres, qui ont été majoritairement filmé à l'état sauvage/naturel par Jean-Jacques Annaud, ce qui rend les scènes d'autant plus réalistes. Néanmoins la présence de l'homme est tout aussi importante dans l'histoire, puisque c'est au gré de leur bon vouloir que les tigres vont évoluer ici et là. Certaines scènes sont assez dures, mais cela n'empêche pas des passages plus légers avec une touche d'humour
Mise à part l'histoire qui est absolument sublime (moi tu me mets des animaux, je suis contente), ce qui est particulièrement intéressant dans ce film, outre les tigres, ce sont les paysages. Deux Frères m'a permit de découvrir des paysages asiatiques magnifiques. Et je crois que c'est grâce à ce film que je me suis prise d'amour pour cette partie du monde et que je rêve d'y aller depuis.


"Avant de se lancer dans l'écriture du scénario, Jean-Jacques Annaud s'est rendu deux semaines dans la réserve de Ranthambhore, au Rajasthan, pour observer une trentaine de fauves en compagnie des meilleurs spécialistes du tigre asiatique. Il a ensuite écrit le scénario puis a effectué des repérages durant un an, se rendant en Asie environ tous les deux mois. Après ces longs mois de préparation, le tournage pouvait débuter.
Entamé le 21 octobre 2002, le tournage de Deux frères a duré six mois. En Thaïlande, mais également au Cambodge, sur le site des ruines d'Angkor. Il fallu d'ailleurs à Jean-Jacques Annaud beaucoup de persévérance pour convaincre les autorités cambodgiennes de tourner avec des fauves sur ce site très visité, classé au patrimoine de l'humanité." (Source : AlloCiné)


Deux Frères fait parti de mes films préférés, je ne me lasse pas de le regarder et je suis toujours autant émotive même après plusieurs visionnages. D'après moi, il est à voir une fois dans sa vie, au moins pour la prouesse technique accomplit par Jean-Jacquesspécialiste du film animalier (L'Ours), mais aussi pour la beauté des paysages. Les rôles principaux sont tenus par Guy Pearce (Le Discours d'un Roi) et le tout jeune Freddie Highmore (Charlie et la Chocolaterie, Arthur et les Minimoys, et plus récemment dans la série Bates Motel), qui fait alors ses débuts au cinéma.
Ainsi Deux Frères vous fera voyager, rêver, peut-être pleurer, et vous donnera probablement envie d'avoir un tigre à cajoler. 

samedi 18 octobre 2014

A cause de l'automne je te quitte.

J'ai passé l'après-midi d'hier avec ma super chouette copine Clémentine. Nous avons flâné dans Paris sous un temps plutôt agréable, bien que quelque peu menaçant. Un peu par hasard, nous nous sommes retrouvées au Parc Monceau où nous n'avions jamais été. C'est un petit jardin parisien comme je les aimes qui permet de se couper de l'agitation de la capitale pendant un petit moment. Nous avons profité de ce joli cadre pour prendre des photos pour nos blogs respectifs, et c'était plutôt amusant. J'ai adoré joué les photographes, je me sens bien plus à l'aise derrière l'objectif plutôt que devant ! Je vous propose donc aujourd'hui un petit look automnale simple, passe partout, et portable tous les jours. Plutôt cool non ?! 


Même s'il ne fait pas encore super froid, je me suis enfin décidée à sortir mon chapeau d'amour que j'avais repérer en mars/avril sur le site H&M et que je ne pensais jamais trouver en magasin. C'est finalement, début juillet, durant les soldes que je suis tombée dessus par le plus grand des hasard. Du coup, il m'a fait de l'œil durant tout l'été (vous comprenez mieux maintenant pourquoi il me tardait de le sortir). J'ai ressorti mon pull H&M, acheté en début d'année, que j'ai quasiment porté tout l'hiver dernier (et printemps aussi, vu les températures...), et mes bottines Forever 21 (que je vous avais déjà présenté ici & ). J'ai associé à tout ça mon sac hibou/renard, parfait pour la saison (l'automne pour moi, c'est la saison des renards, oui) + un jean basique et quelques bagues pour habiller mes mains !







Pull - H&M  Denim Slim - Pull & Bear
Bottines - Forever 21  Sac - Ebay 
Chapeau - H&M  Bague - H&M





Après avoir plus ou moins abandonné le blog pendant quelques jours pour cause de démotivation totale suite à un manque d'inspiration, j'ai finalement réussi à me remotiver et à trouver de nouvelles idées d'articles. Dans l'idéal, j'aimerai changer un peu de rythme et passer d'un article par semaine à deux, j'espère y arriver dans les prochains jours.. N'hésitez pas à me suggérer des sujets ou idées d'articles en tout cas !


dimanche 12 octobre 2014

We are the Kings and Queens of Suburbia.

Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler musique. En effet, lundi dernier est sorti le  cinquième album de Tokio Hotel. Est-ce utile de vous présenter le groupe allemand le plus populaire de la fin des années 2000 ? Composé des jumeaux Bill et Tom Kaulitz, ainsi que de Georg Listing et Gustav Schäfer, le groupe n'avait rien sorti depuis quatre ans. Autant vous dire que l'attente fut longue pour les fans. Pour ma part, je n'attendais pas leur retour avec impatience, bien au contraire. J'ai été fan du groupe durant le lycée (Tokio Hotel c'était un peu la tapisserie de ma chambre à cette époque là), je les avais lâché un peu avant la période Humanoïd, je ne me retrouvais plus vraiment dans leur musique, je pense aussi que j'avais un peu fait une overdose lors de ma grand période TH.


Quand j'ai vu que des fans en parlaient sur Twitter, je n'étais pas très enthousiaste par rapport à leur retour, j'étais contente pour les fans, mais ça ne me faisait ni chaud ni froid. Et puis, j'ai tout de même écouté Run Run Run par curiosité, voir ce que le groupe de mon adolescence était devenu. Et bien grosse surprise, je n'ai pas le coup de cœur, mais j'aime beaucoup ! Sort ensuite Girl Got A Gun et alors là, grosse révélation, j'adore ! Tout simplement. Je retrouve les TH de 2007 mais en plus grand, en plus mature, mais je crois que la vraie grosse surprise a été Love Who Loves You Back que j'écoute en boucle depuis. Finalement, si on ne sait pas que c'est Tokio Hotel, que l'on n'est pas très familier avec la voix de Bill, on ne devine pas à la première écoute qu'il s'agit d'eux, et pour un come back, c'est plutôt pas mal de partir sans préjugé sur un groupe qui a autant fait parlé de lui, non ?

Bref, j'attendais donc la sortie de l'album avec grande impatience ! Comme vous vous en doutez sûrement, si j'écris cet article c'est que je n'ai pas été déçue, non, vraiment très bonne surprise durant l'écoute de Kings of Surbubia dans lequel on retrouve aussi bien des musiques rocks (les solos de guitare et de basse héhé), des balades, et aussi des sons un peu plus électros.
On sent bien que le groupe a grandit, évolué en quatre ans, cela n'empêche pas que l'on retrouve ce petit truc qui distingue Tokio Hotel des autres. On sent également que le groupe s'est pleinement investi dans l'écriture de cet album, qu'il a une réelle identité, la leur, que ce n'est pas un produit marketing pré-fabriqué pour faire vendre. 


Kings of Surbubia est donc une très bonne surprise pour cette fin d'année 2014 et pourrait bien vous réconcilier avec le quatuor allemand. J'attends de ce fait impatiemment une tournée du groupe que j'irai sans doute revoir en live, et je peux vous dire que pour les avoir déjà vu en 2007, ils envoient du pâté et se donnent à fond en concert ! Le groupe ne semble pas avoir perdu de sa popularité après toutes ces années, ni son identité, et on s'en réjouit.