Si Disneyland Paris est ma Happy place, et donc l’un de mes endroits préférés sur terre que j’aime appeler ma « deuxième maison », la première et ma vraie maison est (et restera toujours) l’Auvergne.
J’y vais depuis que je suis toute petite, presque depuis que je suis née en fait (quelques mois après ma naissance, ma maman m'y emmenait déjà passer mes premières vacances).
Nous y avons une maison familiale où nous avons donc la chance de pouvoir nous y rendre quand nous le souhaitons.
C’est donc la-bas que j’ai passé la plupart de mes vacances étant enfant, j’y allais parfois jusqu’à trois fois par an (au printemps, l’été, et durant les vacances de la Toussaint). On se retrouvait en famille dans notre maison, mais surtout on retrouvait les copains de vacances avec lesquels on faisait les 400 coups dans notre petit village.
C’est donc la-bas que j’ai passé la plupart de mes vacances étant enfant, j’y allais parfois jusqu’à trois fois par an (au printemps, l’été, et durant les vacances de la Toussaint). On se retrouvait en famille dans notre maison, mais surtout on retrouvait les copains de vacances avec lesquels on faisait les 400 coups dans notre petit village.
Parce que les vacances en Auvergne c’était un peu synonyme de liberté : on rentrait à la maison bien souvent uniquement pour les repas, le reste du temps on le passait dehors à s’amuser.
En grandissant, les vacances en Auvergne se sont faites plus rare, plus espacées, mais ont gagné en préciosité.
C’est le rendez-vous de l’été que je ne manquerais pour rien au monde, il n’y jusqu’alors pas eu un seul mois d’Août où je ne suis pas partie me ressourcer un peu dans mon petit coin de paradis, loin de tout.
J’en parle souvent de l’Auvergne, de ma hâte d’y retourner, du bien que ça me fait d’y être, mais je partage très peu de choses dessus, ou quelques photos par-ci, par-là, sans jamais vraiment tout dévoiler.
Car d’une certaine manière, je crois que je n’en ai pas envie. Je veux que ça reste mon petit jardin secret où je peux me réfugier au moins une fois dans l’année.
Mais je n’imaginais pas d’autre décor pour shooter cette acquisition faite en mars dernier et dont j’avais hâte de vous parler.
Une petite folie que je n’ai pas hésité longtemps à faire lorsque je l’ai vu dans la boutique Claudie Pierlot à La Vallée Village. Il s’agit de la robe Reinaldine, que j’avais vu sur des blogs, que j’avais regretté de ne pas avoir prise lors des soldes d’été l’année dernière et dont je rêvais secrètement depuis.
Malheureusement, il ne restait plus que deux modèles en boutique et bien évidemment, il n’y avait plus (ce que je pensais être) ma taille. Je tente quand même d’essayer ce petit 34 dans lequel je pense ne jamais rentrer, et là, surprise. Elle tombe parfaitement, sur les hanches, au niveau des jambes et de la poitrine, comme si elle avait été faite sur mesure pour moi.
J’hésite un peu, vu son prix qui dépasse largement mon budget, mais je me dis que l’occasion est trop belle, que je peux bien me faire plaisir de temps en temps. Et puis, je vérifie son lieu de fabrication : la Bulgarie. Une petit folie oui, mais un achat qui reste un temps soit peu « éthique ».
J’hésite un peu, vu son prix qui dépasse largement mon budget, mais je me dis que l’occasion est trop belle, que je peux bien me faire plaisir de temps en temps. Et puis, je vérifie son lieu de fabrication : la Bulgarie. Une petit folie oui, mais un achat qui reste un temps soit peu « éthique ».
Alors, depuis mars j’attendais le retour des beaux jours pour pouvoir la porter, cette petite robe Claudie Pierlot, qui me rappelle étrangement une de mes préférées que j’avais lorsque j’étais enfant.
Je me voyais déjà l’immortaliser dans un décor champêtre, mais voilà à Paris, difficile de trouver un pré ou un champs de blés...
Et finalement, j’ai réalisé que l’endroit que je m’imaginais, que je visualisais depuis le début n’était autre que l’Auvergne.
Alors c'est ici que je vous emmène, dans ma jolie robe Claudie, au bout de ce chemin, quand on sort de la forêt des Pins, à la fin d'une de ces longues et belles journées d'été lorsque le soleil commence à se coucher derrière les montagnes, en face de ce champ de blés … Cela vous donne un petit aperçu de ce à quoi ressemble mon petit paradis ♡
Alors c'est ici que je vous emmène, dans ma jolie robe Claudie, au bout de ce chemin, quand on sort de la forêt des Pins, à la fin d'une de ces longues et belles journées d'été lorsque le soleil commence à se coucher derrière les montagnes, en face de ce champ de blés … Cela vous donne un petit aperçu de ce à quoi ressemble mon petit paradis ♡
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À l’année prochaine, ma jolie Auvergne.